Certains croient encore en l’Union européenne parce qu’on
leur a dit et répété que l’union faisait la force.
L’Union européenne
fait effectivement la force… des lobbies et ce, d’autant plus que l’ «
Union » européenne n’a d’union… que le nom !
C’est à Bruxelles, siège de
la commission européenne, que travaillent des milliers de
fonctionnaires européens en contact permanent avec les lobbies des
multinationales et autres grandes entreprises. Ces lobbies, comme
l’AMCHAM, l’ERT et l’UNICE, ont fait de Bruxelles leur capitale
européenne sur le modèle redoutable de leur capitale mondiale,
Washington.
Remarquons d’abord que ces lobbies gagnent beaucoup à :
Voici, concernant la « protection » des consommateurs, deux exemples parmi d’autres :
Ces deux exemples devraient, si y on ajoute le cas similaire des OGM, imposés aux français malgré eux, faire prendre conscience que l’UE est en situation de « cohabitation permanente », et laisse donc émerger une politique des lobbies en lieu et place d’une vrai politique au service de l’intérêt général. « On ne fait pas d’omelette avec des œufs durs » avait dit un jour le général de Gaulle en pensant aux vieilles nations. Il avait aussi averti, dans sa conférence de presse du 15 mai 1962, que l’absence prévisible de politique commune de l’Europe faisait le jeu d’un fédérateur extérieur (Etats-Unis) qui lui en aurait une (de politique). Mais ceci est une autre (triste) histoire que nous vous invitons à découvrir sur le site de l’Union Populaire et Républicaine (UPR) qui en tire les conclusions qui s’imposent, à savoir que la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN est un préalable indispensable au rétablissement de la démocratie qui n’est plus, aujourd’hui, que d’apparence puisque, quels que soient les résultats des élections, c’est à peu près toujours la même politique qui est menée.
Daniel Militant UPR
- concentrer leur activité à Bruxelles plutôt que s’ils devaient se disperser, à un coût bien supérieur, dans toutes les capitales européennes. Par effet de seuil, certains lobbies n’existeraient même pas au niveau national, le marché n’étant pas suffisamment vaste pour un « retour sur investissement ».
- influencer des fonctionnaires et des commissaires européens méconnus du grand public plutôt que des ministres plus médiatisés, censés rendre des comptes et suivis par les citoyens avertis.
- l’augmentation des pouvoirs de la commission européenne, non élue et sous leur influence, pour que celle-ci puisse décider, à la place des ministres des pays européens, notamment dans les domaines des compétences exclusives de la commission.
- les multinationales qui, par leur lobbying intensif, prônent le libre échange intégral ont, dans leur passé, grandi à l’abri du protectionnisme dont elles ont réussi à rendre le mot presque tabou.
- les fonctionnaires européens au statut privilégié (Ex : retraite complète au bout de 15 ans et demi) instillent la concurrence tout azimut dans les directives et règlements européens alors qu’eux-mêmes sont à l’abri de la concurrence. Pour eux, l’Europe c’est la paie et non pas la paix comme on voudrait, par ailleurs, nous faire croire.
Voici, concernant la « protection » des consommateurs, deux exemples parmi d’autres :
- Viandes désinfectées à l'acide lactique.
- Côté sécurité alimentaire, cette décision est un feu vert au relâchement global des pratiques d’hygiène sur l’intégralité de la chaine dite « de la fourche à la fourchette » c’est à dire de l’éleveur au boucher, en passant par le transporteur et le grossiste, jusqu’au consommateur.
- Côté emploi, nos éleveurs ont désormais à affronter une nouvelle concurrence déloyale de pays qui masquent leur manque d'hygiène et leurs mauvaises conditions d'élevage et d'abattage par des artifices tels que l’acide lactique.
- Côté information, aucune étiquette n’est censée avertir le consommateur que la viande a été traitée à l’acide lactique dont l’acceptation préfigure peut-être l’arrivée des poulets américains traités au chlore.
- Farines animales – Le retour.
Ces deux exemples devraient, si y on ajoute le cas similaire des OGM, imposés aux français malgré eux, faire prendre conscience que l’UE est en situation de « cohabitation permanente », et laisse donc émerger une politique des lobbies en lieu et place d’une vrai politique au service de l’intérêt général. « On ne fait pas d’omelette avec des œufs durs » avait dit un jour le général de Gaulle en pensant aux vieilles nations. Il avait aussi averti, dans sa conférence de presse du 15 mai 1962, que l’absence prévisible de politique commune de l’Europe faisait le jeu d’un fédérateur extérieur (Etats-Unis) qui lui en aurait une (de politique). Mais ceci est une autre (triste) histoire que nous vous invitons à découvrir sur le site de l’Union Populaire et Républicaine (UPR) qui en tire les conclusions qui s’imposent, à savoir que la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN est un préalable indispensable au rétablissement de la démocratie qui n’est plus, aujourd’hui, que d’apparence puisque, quels que soient les résultats des élections, c’est à peu près toujours la même politique qui est menée.
Daniel Militant UPR
le blog de Françoise >>> http://francoiseinfoscitoyenne.over-blog.com/2013/12/l%E2%80%99union-europ%C3%A9enne-les-lobbies-et-les-consommateurs.html
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