"La civilisation démocratique est entièrement fondée sur l'exactitude de l'information. Si le citoyen n'est pas correctement informé, le vote ne veut rien dire." Jean-François Revel - Extrait d'un Entretien avec Pierre Assouline - Novembre 1988

samedi 22 juin 2013

Antieuropéen « ni gauche ni droite »

L’Union populaire républicaine veut la sortie de l’euro, de l’UE et de l’Otan.

Les adversaires de l’Union européenne et de l’euro, réunis sous le vocable de souverainistes, comptent une antenne supplémentaire en Gironde : l’Union populaire républicaine. Créé par François Asselineau, candidat à la présidentielle mais dans l’impossibilité de réunir suffisamment de parrainages, ce parti a pour délégué départemental Guilhem Serrano, un informaticien bordelais qui n’a jamais adhéré à un parti auparavant, comme 90 % des adhérents de l’UPR, où les trentenaires sont majoritaires : « Nous sommes un mouvement de libération nationale, ni de gauche, ni de droite, ni du centre, explique-t-il. Notre but est que la France sorte de l’Union européenne et de l’Otan tout en abandonnant l’euro pour retrouver sa souveraineté. Actuellement, toutes les grandes décisions échappent au gouvernement et les Français n’ont plus les leviers de commande. »
Preuve, selon lui, que l’UPR n’a rien à voir avec DLR (Debout la République) de Nicolas Dupont-Aignan : « Nous évitons tous les sujets clivants comme l’immigration ou le mariage gay et notre argumentaire est fondé sur celui du Conseil national de la Résistance. » Lors de la future campagne des élections européennes, l’UPR défendra la relance des services publics, un vaste programme de logements sociaux, une réforme constitutionnelle axée sur le non-cumul et la restauration des prérogatives de la Banque de France. Pour s’informer, on peut se connecter sur le site Internet u-p-r.fr.

DOSSIER DE PRESSE UPR

>>>>>> http://www.u-p-r.fr/dossier-de-presse-upr

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